La projection est inférieure au seuil de 2,5% largement considéré comme signalant une récession mondiale.
Il représente également une décélération significative par rapport aux taux de croissance annuels moyens avant le COVID 19 La pandémie lorsque la croissance mondiale était déjà modérée.
Menaces et volatilité
Le rapport Cité des menaces de montage, notamment les chocs de politique commerciale, la volatilité financière et une augmentation de l’incertitude.
L’augmentation des tensions commerciales a un impact sur le commerce mondial, et les mesures tarifaires récentes perturbent les chaînes d’approvisionnement et sapent la prévisibilité.
« L’incertitude de la politique commerciale est à un sommet historique», A-t-il dit:«Et cela se traduit déjà par des décisions d’investissement retardées et une embauche réduite. «
Chaque pays touché
Le ralentissement affectera toutes les nations et Trecte exprimé une préoccupation continue pour les pays en développement, en particulier les économies les plus vulnérables.
De nombreux pays à faible revenu sont confrontés à une «tempête parfaite» d’aggravation des conditions financières externes, de la dette non durable et d’affaiblir la croissance intérieure, a indiqué l’agence.
En termes de développements régionaux, la CNUCED s’attend à une forte décélération de l’économie des États-Unis à une croissance de 1% en 2025, en grande partie en raison d’une incertitude politique accrue composée par des mesures commerciales récemment annoncées. Le Canada est également sur la bonne voie pour connaître une décélération importante, avec des prévisions de croissance à 0,7%.
« Dans l’ensemble, le risque d’une récession se matérialisant plus tard cette année dans la région de l’Amérique du Nord a considérablement augmenté », indique le rapport.
Images mixtes pour l’Asie, l’Afrique
La croissance de la région de l’Asie du Sud augmentera de 5,6% «car l’inflation en baisse ouvre la voie à des relâches monétaires dans la majeure partie de la région». Cependant, la volatilité des prix des aliments restera un risque et les complexités autour de la dette continueront d’affecter des économies telles que le Bangladesh, le Pakistan et le Sri Lanka.
Pendant ce temps, la croissance en Afrique devrait prendre jusqu’à 3,6% cette année, bien que ses trois plus grandes économies – l’Afrique du Sud, le Nigéria et l’Égypte, qui représentent ensemble près de la moitié de la production économique de la région – montrent une image mitigée de la reprise et des défis.
« L’Afrique est en première ligne de l’exposition aux crises en cascade. La croissance modérée à travers le continent est insuffisante pour créer suffisamment de bons emplois, en particulier pour ses jeunes », indique le rapport.
Commerce sud-sud
Les perspectives ne sont pas toutes sombres car le rapport indique la croissance du commerce entre les pays en développement – connu sous le nom de commerce sud-sud – comme une source de résilience.
Il représente actuellement environ un tiers du commerce mondial et offre des opportunités pour de nombreux pays en développement.
Face à l’augmentation des tensions commerciales et à un ralentissement de la croissance, la CNUCED appelle au dialogue et à la négociation aux côtés de la coordination des politiques régionales et mondiales plus fortes.
« L’action coordonnée sera essentielle pour restaurer la confiance et maintenir le développement sur la bonne voie », indique le rapport.