Cependant, il apparaît également qu’une partie des ménages bénéficiant de prestations minimales doivent encore se contenter d’un revenu qui se situe (bien) en-dessous du seuil de risque de pauvreté. C’est notamment le cas pour le revenu d’intégration, l’allocation de remplacement de revenus (ARR) et l’assurance chômage.
Selon nos estimations, le montant du revenu d’intégration pour une personne isolée en juillet 2024 représente 84 % du seuil de pauvreté ; pour un couple sans enfant, il n’est que de 74 %.