Ces incidents mettent non seulement en danger la sécurité individuelle, mais portent également atteinte à l’unité sociale, conduisant souvent à des violences et à des conflits plus importants. L’événement soulignera l’importance d’établir un cadre de sécurité qui respecte, protège et défend pleinement la liberté de religion ou de conviction. Ce principe joue un rôle dans la promotion de relations positives entre les États participants au sein de l’OSCE et fait partie intégrante de son concept de sécurité.
Au cours de l’événement, des discussions auront lieu sur les aspects liés aux crimes de haine anti-religieux dans l’espace de l’OSCE. Cela implique d’analyser la manière dont ces incidents sont signalés et traités. En outre, une attention sera accordée aux ressources à venir du BIDDH, telles que les guides et fiches d’information sur la sécurité communautaire. En outre, les dimensions liées au genre des crimes de haine religieuse seront également abordées.
Le BIDDH, avec le soutien de la Table ronde FoRB Bruxelles UE, organise un événement qui se déroulera en anglais.
Tatjana Perić, conseillère spécialisée dans la lutte contre le racisme et la xénophobie à l’OSCE/BIDDH, modérera le panel. Parmi les panélistes estimés figurent Eric Roux, co-président de la table ronde FoRB Bruxelles UE ; Christine Mirre, directrice du CAP Liberté de Conscience ; Alexander Verkhovskiy, directeur du Centre de recherche SOVA ; Isabella Sargsyan, directrice de programme à la Fondation Eurasia Partnership et membre du groupe d’experts du BIDDH sur la liberté de religion ou de conviction ; et Ivan Arjona Pelado, président du Bureau européen de l’Église de Scientologie pour les affaires publiques et les droits de l’homme.
L’événement se terminera par une déclaration de Kishan Manocha, responsable du département Tolérance et non-discrimination à l’OSCE/BIDDH.
Les intervenants possèdent une expérience et une expertise dans divers domaines tels que l’extrémisme politique, le nationalisme, la xénophobie, la religion et la prévention des abus politiques concernant les politiques anti-extrémisme. Ils connaissent également bien les questions liées aux droits de l’homme, à la liberté de religion et de conviction. En outre compétent dans la transformation des conflits entre les zones. Ces personnes ont consacré leur carrière à lutter contre la discrimination et l’intolérance. Il ne fait aucun doute que leurs contributions éclairées feront la lumière sur la question des crimes de haine anti-religieux dans la région de l’OSCE.
Le prochain événement devrait être l’occasion de discussions et d’initiatives visant à lutter contre les crimes haineux fondés sur les croyances religieuses. Il représente une avancée vers la promotion de l’inclusion, de la compréhension et de la protection de la liberté religieuse au sein de la région de l’OSCE.
L’événement se terminera par une déclaration finale de Kishan Manocha, responsable de la tolérance et de la non-discrimination à l’OSCE/BIDDH, résumant les principaux points à retenir et soulignant l’importance des efforts concertés pour lutter contre les crimes de haine antireligieux dans l’espace de l’OSCE.
Dans un monde où la diversité religieuse doit être célébrée et protégée, cet événement constitue une plate-forme cruciale pour le dialogue, le partage des connaissances et l’action collaborative pour lutter contre les crimes de haine antireligieux et promouvoir la tolérance, la compréhension et la liberté de religion ou de conviction au sein de l’OSCE. région.