L’accord entend offrir aux victimes un accompagnement coordonné et de qualité en prévoyant un modèle de coopération, d’orientation et de renvoi entre les différents services en matière d’assistance aux victimes, de même que la reconnaissance officielle des structures de concertation existantes, basées sur les pratiques et structures en place.
Le projet d’accord de coopération et l’avant-projet de loi portant assentiment sont transmis au Conseil d’État.