Dans le questionnaire, on remplit des informations sur la situation (travail, maladie, handicap) de la personne concernée et des membres de sa famille. On obtient ensuite une estimation de l’impact sur ses propres revenus et sur ceux de la famille. La saisie correcte et précise des données relatives au revenu permet d’obtenir de meilleurs résultats. C’est pourquoi un travailleur social (p. ex. FOREM, GTB) peut aider les personnes à remplir le formulaire. Il peut également aider à interpréter les résultats et à faire un pas vers le travail.
Vandenbroucke : « Nous voulons offrir de nouvelles opportunités aux personnes souffrant d’une maladie de longue durée ou d’un handicap. Nous savons en effet que le travail est particulièrement important pour elles. Pour leur santé et leur bien-être (mental), parce que le travail – le fait de se sentir utile – leur apporte exactement cela. Jobcalc indique ce que vous gagnez sur le plan financier. Et cela aussi est important, bien sûr. Je pense qu’il est du devoir des responsables politiques de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre cela possible, pour faire en sorte que les personnes qui n’ont pas pu travailler pendant une longue période aient une chance de se remettre sur les rails – à leur propre rythme. Les personnes qui choisissent de le faire doivent pouvoir le faire en toute sérénité. Jobcalc leur offre cette possibilité.
Lalieux : « Le fait de pouvoir travailler a un impact positif sur la santé et le bien-être des gens. Y compris pour les personnes souffrant d’un handicap. L’intégration des personnes en situation de handicap sur le marché du travail est donc un objectif politique majeur. Grâce à Jobcalc, une personne bénéficiant d’une allocation d’invalidité peut calculer l’impact de son travail sur ses revenus. Nous espérons que cet outil convaincra les gens d’entrer sur le marché du travail afin d’y accroître leur participation.